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spécialiste en psychothérapie, coaching, conseil conjugal, hypnothérapie, sophrologie dans le Val de Marne et Paris.

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Bonjour, chers amis fumeurs malheureux, culpabilisés, ce n'est pas une fatalité !!

Moi, c'est Héloïse, j'ai 32 ans, j'avais commencé à fumer à 18 ans, et j'ai trouvé ça dégoutant la première fois, mais je me suis forcée à m'habituer parce que je trouvais ça cool et "socialisant" .... Tu parles, une vilaine addiction bien mal acquise dont j'ai bien tardé aussi à me débarrasser. Avant de tenter l'hypnose avec Mme Sirous j'avais déjà essayé d'arrêter seule, plus ou moins brutalement, une fois avec des patchs, 3 fois en tout pour des périodes de 6 mois, puis à nouveau 6 mois et 18 mois... Avant de faire ma séance d'hypnose je fumais un paquet minimum par jour, me culpabilisais des effets nocifs du tabac sur ma santé et mon portefeuille et me désespérais de ne même pas réussir à diminuer ma consommation... J'ai donc décidé d'arrêter à nouveau, et cette fois ci pour toute ma vie, avec cette méthode, suivi les différentes étapes sur internet, préparé ma démarche, réfléchi à des stratégies et me suis rendue à ma séance d'hypnose. En chemin, j'ai d'ailleurs appris une bien mauvaise nouvelle super stressante, mais j'avais fumé ma dernière cigarette la veille au soir.... Et je me suis dit "mon Dieu voilà bien une occasion où j'aurais pu m'en griller 3 d'affilée" .... Oui mais ça c'était avant....enfin, je me demandais vraiment comment une simple séance allait réussir à m'enlever cette envie aussi viscérale, ce besoin de fumer comme je respirais.

t pourtant, oui, j'ai à nouveau ouvert les yeux après cette séance en me disant " Je suis une non fumeuse, et je serai une non fumeuse pour le restant de ma vie" et cela me semblait aussi évident que de dire " je suis une femme et je serai une femme pour le restant de ma vie " Dès cet instant j'ai eu l'impression que j'avais déjà arrêté de fumer depuis des mois alors que cela ne faisait que quelques heures. Par la suite il m'est arrivé régulièrement de penser au tabac mais pas dans la souffrance, seulement comme une simple information qui me disait de temps en temps " tiens avant dans ces moments là je fumais, qu'est ce que je suis contente que ça ne soit plus le cas, au moins là je peux bien profiter de cette situation sans me culpabiliser, sans sentir mauvais, etc... " J'ai trouvé ça magique et merveilleux ! D'accord, j'étais prête à arrêter et réceptive à tout ce qui pouvait m'aider, mais mes arrêts précédents sans hypnose avaient été empreints de douleur, de souffrance, de stress, de frustration, d'agressivité et de besoins de compenser de n'importe quelle autre façon, cela avait été très dur.... Et cette fois ci : RIEN ! FACILE ! C'est comme si j'étais enfin moi même, comme si j'avais déjà arrêté depuis longtemps, avec en plus un sentiment de fierté personnelle immense !

Et pas mal d'admiration de mes proches aussi qui n'en revenaient pas de ce changement aussi soudain, efficace et durable ! Vraiment, c'est une méthode très adaptée et efficace pour arrêter le tabac de façon efficace et durable et sans souffrir alors pourquoi s'en priver ? En tout cas moi je suis RAVIE !!

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Valérie 40 ans

Maryam m'a aidée à retrouver confiance en moi par des méthodes simples et très efficaces et depuis je savoure chaque instant de ma vie.

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Julie 58 ans

Une rencontre fondamental pour ma vie

Je suis très heureuse d'avoir rencontré Maryam SIROUS pour sa compétence, sa sensibilité ,sa bienveillance pour m'accompagner dans un travail thérapeutique. Avec toutes les possibilités qu'elle propose dans une grande quantité de techniques. J'ai appris à me connaître plus profondément, à développer mon auto-estime et avoir confiance en moi. J'ai appris à sortir de cet état de dépression qui prédominait dans mon existence. Je me sens de plus en plus positive et optimiste. Et avec beaucoup plus de joie de vivre, en étant bien avec moi-même, plus en paix, en harmonie et bien sûr avec les autres aussi. En me connaissant mieux, je développe mes capacités, ma créativité, et je ressens la liberté d'être moi-même. Excellente thérapeute !!! Merci infiniment !!!

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Sa compétence, son savoir faire, la variété de techniques, son écoute, son humanisme, sa générosité, l'amour profond de l'être humain, la précision de ces interventions, l'engagement qu'elle a avec son patient, le désir d'accompagner jusqu'à la victoire, la qualité de son travail, etc..........

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Léa 30 ans:

Le premier rendez-vous avec le/la thérapeute

Ça y est, je me suis lancée, j’ai pris rendez-vous avec Maryam Sirous. Ca a l’air anodin comme lorsqu’on prend rendez-vous chez son coiffeur, mais le simple fait de téléphoner pour convenir d’une date et d’une heure a suffit à soulever bon nombre de questions et de ressentis. Je me souviens avoir laissé un message sur son répondeur car elle était indisponible. J’étais plutôt nerveuse et mal à l’aise lorsqu’elle m’a rappelée. C’était un amer mélange de peur et de doutes. Comment expliquer en quelques secondes l’objet de sa demande quand on sait juste que ça ne va pas ? Comment ensuite le formuler par téléphone à quelqu’un qu’on ne connaît pas ? Je me souviens avoir vaguement parlé d’un mal-être permanent et de difficultés sentimentales pour répondre à la question « pouvez-vous m’expliquer ce qui vous pousse à me contacter ? ». Ma voix trahissait mon manque d’assurance pendant que mon ventre faisait intérieurement la fête. Sera-t-elle en mesure de m’aider ? Est-ce que cette fois-ci le contact passera ? Le rendez-vous était pris pour la semaine suivante. J’avais calé la date dans un coin de ma tête et j’ai continué mes habitudes sans trop y penser jusqu’au jour du rendez-vous. Je venais sans attente fondée car je ne savais pas comment les choses allaient se dérouler. J’avais malgré tout l’espoir de trouver enfin de l’aide ou du moins suffisamment de confiance en elle pour faire de cette rencontre la première mais pas la dernière.

Une semaine plus tard, c’est le jour J. Je me retrouve derrière la porte, le ventre en vrac, le cœur en hyperactivité et je sonne. On dit souvent que le premier contact est primordial, effectivement celui-ci n’a rien à voir avec ceux des précédents spécialistes. Je ne le sais pas encore en la saluant mais je viens de faire un pas dans l’antre de la thérapeute que j’appellerai désormais « ma psy ». C’est LA nouvelle information de ma vie et je choisis pour le moment de la garder secrète par pudeur et parce que j’attends de voir la suite. Mais je sais déjà au fil de cette première séance qu’un prochain rendez-vous ne tardera pas.

Elle m’invite donc à m’asseoir sur le canapé et je la laisse entamer le dialogue. Nos premiers échanges nous permettent de détailler les raisons de ma présence et le but que je souhaite atteindre avec son aide. J’expérimente alors rapidement la franchise de Maryam en répondant à ses premières questions. Elle m’annonce des vérités dont je n’avais clairement pas ou peu conscience, et pour certaines elles sont douloureuses à entendre. Pour un premier contact c’est tranchant mais je trouve ça appréciable car j’ai le sentiment d’entrer dans le vif du sujet dès les premières minutes d’entretien. Au moins c’est clair, il y a matière à travailler. En parallèle, l’attitude bienveillante que dégage Maryam me rassure et me sécurise, je me sens en confiance. J’ai la sensation dérangeante que je ne peux rien lui cacher. Elle détecte sur mon visage les moindres émotions qui me traversent et m’interrompt d’un « il y a quelque chose, dites-moi ». Je dois admettre que c’est troublant en plus d’être impressionnant. En temps normal, mon langage non verbal passe inaperçu.

Cette rencontre remonte à un an et demi déjà, et ce dont je me rappelle le plus c’est d’avoir eu la sensation qu’elle détenait avec une quasi-certitude les clés de mon objectif. Quasi car j’ai toujours une part de scepticisme en moi tant que je n’ai pas de résultat. Mais c’était comme si elle ouvrait sa main pour laisser apparaître les solutions à mes problèmes avec une facilité étonnante. J’ai le choix de me servir en entamant un travail grâce à son aide ou de m’arrêter là et reprendre ma vie d’avant, celle que je tente de fuir depuis des années. Je prends véritablement conscience que son rôle est de me guider vers mon objectif et que le travail ne dépend que de moi. Elle l’illustre d’ailleurs très bien quand elle dit détenir le plan du labyrinthe et orienter ses patients vers la sortie qu’ils ont choisie, en fonction de leurs désirs et de leur évolution.

C’est lors de ce premier rendez-vous que j’ai commencé à aborder des notions jusque là anodines et dont j’avais entendu parler pendant mes soporifiques cours de philo au lycée : la connaissance de soi, les émotions, les ressentis, la relaxation… sauf qu’aujourd’hui le sujet m’anime et me parle. Et quelle meilleure entrée en matière que le premier travail qui consiste à trouver 50 de mes qualités pour la prochaine séance ? L’exercice me laisse perplexe, en même temps il m’amuse bien que je le prenne très au sérieux… Séance terminée. J’ai déjà appris beaucoup sur moi, presque plus en 1h30 qu’en 30 ans et j’ai envie de creuser encore plus. Par curiosité et parce qu’enfin je sens qu’elle va m’aider. Alors naturellement, nous avons fixé un nouveau rendez-vous pour la semaine suivante.

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pj

J'apprecie enormement le côté professionel de cette therapeute, sa disponibilité en tant que coach meme en dehors des séances, sa connaissances des divers cultures...

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